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Zettai Shonen (2006) |
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Titres alternatifs | |
Synopsis | Aizawa Ayumu est un garçon en âge d'aller au collège. Il passe son été chez son père, dans un petit village à 2h de Tokyo. C'est la première fois qu'il voit son père en l'espace de 4 ans, ses parents étant divorcés. Ayumu était plutôt réticent à ce type de vacances, mais sa mère lui offrait un VTT s'il acceptait. Ayumu prend ses marques dans une campagne déserte, calme et quelque peu étrange. En effet, certaines nuits il aperçoit des boules lumineuses dans le ciel, semblables à de grosses lucioles. Un jour arrive où il rencontre un petit garçon nommé Wakkun, qui veut absolument jouer avec lui. Ayumu accepte, mais perd de vue l'enfant, qui ne laisse derrière lui qu'un petit vaisseau montant dans le ciel !
-rohff60- |
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Critiques | Zettai Shonen a deux visages. Le premier, s'étalant tout au long des 12 premiers épisodes, est pour le moins séduisant ; un jeune ado paumé qui passe une partie de son été dans un village niché au coeur des montagnes japonaises. Ambiance garantie : l'image nous offre un teint proche du sépia, tout en nostalgie et en douceur. L'intrigue, liée à l'apparition de phénomènes surnaturels, est agréable à suivre, et les personnages -assez réussis- s'autorisent même quelques dialogues plutôt pertinents ! C'est mou, mais ça se laisse déguster comme un bon rafraichissement d'un début de soirée d'été. L'autre facette de la série est beaucoup moins enthousiasmante. L'action se passe dans le contexte glacial d'une métropole sclérosée par l'hiver. Le contraste est saisissant, et son seul mérite est d'établir un parallèle, une métaphore, avec l'histoire.Les protagonistes ne sont pas en reste ; froids, solitaires, pleurnichards ou débordants de bons sentiments, ils passent en revue le catalogue psychologique de tout ce qu'il y a de plus pénible dans l'animation japonaise. C'est toujours aussi mou, et on a hâte d'en finir, d'autant que la fin se fait attendre et les derniers épisodes trainent en longueur. L'intrigue, sympathique, parvient à nous faire saliver 12 épisodes durant, avant de nous faire languir jusqu'au dernier. Et le dénouement, confus, peine à nous convaincre. Un série inégale, en somme, à voir pour son ambiance à moitié parfaite, et pour se faire un avis.
-N!cK- |
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