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| Le jazz que personne n’a demandé | |
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| Synopsis | Alors qu'il vide les affaires encombrantes de son défunt père, un jeune homme, triste et énervé, ouvre une boîte étrangement scellée. Un joyeux orchestre de jazz jaillit de la caisse en bois et se met à jouer en boucle la même chanson. Ce trio rigolo va suivre alors notre héros partout, de chez lui à son lieu de travail, et rendre sa vie infernale !
-Bubu- |
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| Critiques | Jazz that nobody asked for est une illustration comique et caustique de la petite chanson ou pensée qui trotte dans la tête et dont on n'arrive plus à se débarrasser au point de parfois en devenir chèvre.
Les multiples tentatives du héros pour faire disparaître les gêneurs sont, à ce propos, une belle allusion aux gags de l'univers de Tex Avery.
Que vous aimez ou pas le jazz, ce court métrage ne vous laissera pas indifférent.
-Bubu- |
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| Note de la rédaction | Vidéo gratuite officielle
Jazz that nobody asked for est réalisé par Benny Box, une agence danoise créée par les frères Fisker et spécialisée dans le motion design et le film d’animation.
Ce court métrage a été conçu sans aucun financement et n’a aucun but commercial. C’est la passion de la musique et de l’animation qui a été la force motrice pour cette petite équipe de trois personnes.
La musique joyeuse qui hante ce film est la mélodie du titre Quaker City Jazz du groupe de swing des années 1930 : Jan Savitt and his Top Hatters. Formé en 1937, cet orchestre fut le premier à intégrer un chanteur afro-américain, George Tunnell, dans ses rangs.
Le morceau mélancolique, joué à la clarinette au début du film, est une reprise du titre Intro du groupe de jazz tzigane Balkan Balagan. |
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| | Références | | |
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Le jazz que personne n’a demandé © 2013 BINCZYCKI Pawel, FISKER Esben, FISKER Rune / Benny Box
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