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Les sorties de juillet 2015, Partie 1 : L'été sera chaud...
 



Les sorties de juillet 2015, Partie 1 : L'été sera chaud...



C'est officiel la canicule est en place. Il fait chaud, très chaud... Alors que déjà nos amis les otaku se réjouissent d'avoir un prétexte pour ne pas sortir de chez eux et profiter de cette nouvelle vague, la chaleur s'invite dans leurs écrans. La température va monter quand les sportifs vont s'activer, quand les armes vont s'échauffer et les combats vont s'animer. Pourtant cette dernière va aussi sensiblement augmenter quand ces demoiselles entreront elles aussi en action... Découvrez ici une première sélection des sorties de cette été 2015.

(Découvrez aussi dans cet article une nouvelle forme de présentation que nous souhaitons tester ! Comment l'avez-vous trouvé ? Vous aimez ? Vous détestez ? Des remarques ou des suggestions ? Rendez-vous sur notre forum et faites nous part de votre avis sur )

Charger les armes et faites chauffer les muscles, ça va bouger !




Dès le 18 juillet
2015 est déjà bien avancé, mais saviez-vous que nous célébrons cette année le trentième anniversaire d'une des séries les plus cultes de l'animation japonaise ? Je parle bien évidemment de City Hunter ! À cette occasion, une OAV sort cet été.
Publié aux éditions Shueisha en 1985, le manga de Tsukasa Hôjô compte 39 tomes et sa suite Angel Heart, débutée en 2001, 43 volumes. City Hunter a donc par la suite été adapté en une série d'animation de 140 épisodes divisés en quatre saisons, un film, et de nombreux OAV et épisodes spéciaux.
L'OAV annoncée pour cet été s'intitule Ryo no Propose (La Demande en Mariage de Ryo). Cet épisode devrait bousculer un peu nos repères, puisque de nouveaux seiyû endossent les rôles de nos héros sans compter les nouveaux éléments de l'animation.
Ryo Saeba (Nicky Larson) et Kaori (Laura Marconi) mariés ? Si vous voulez le savoir, prenez donc rendez-vous avec cette nouvelle OAV !

-MIRAhidote-





Aoharu x Kikanjû est un animé adapté du manga éponyme publié dans le Square Enix Magazine depuis 2012 écrit et dessiné par Naoe et comptabilisant actuellement six tomes reliés au Japon.
L'histoire nous plonge au cœur d'un trio pour le moins loufoque composé de la travestie Hotaru Tachiharu, le « host » Masamune Matsuoka et son ami d'enfance devenu auteur de hentai, Tohru Yukimura. Entraînés dans une partie de jeu de survie, les trois garçons devenus compagnons d'armes vont dès lors tenter de devenir les meilleurs joueurs du Japon.
La série est produite par Brains Base (Baccano!, Durarara !!), avec à la réalisation Hideaki Nakano (Golden Time), Kenji Konuta au scénario (Texhnolyze) et une animation dirigée par Junko Yamanaka (Aishiteruze Baby).
Personnages aux caractéristiques étranges et combats à l'arme lourde se mêlent au sein de cet animé non dénué d'originalité, de quoi piquer notre curiosité.

-MIRAhidote-





Dès le 07 août.
Le manga étant fini, tout le monde vit heureux et a atteint son objectif, le film Naruto the Last concluant l'histoire est sorti. Bref, après 15 ans, Naruto rend les armes ! Mais la "japanimation" a ce talent de préserver certaines séries d'une fin, et c'est ce qui semble se passer pour Naruto. Peu de temps après la sortie du dernier chapitre commençait Naruto Gaiden, spin-off racontant les aventures des chers enfants de nos héros : Boruto, fils de Naruto et Hinata, Sarada, fille de Sasuke et de mère pas encore clairement déclaré (la balance hésite entre Karin et Sakura), Mitsuki, garçon mystérieux ressemblant à Toneri, Shikadai, fils de Shikamaru et Temari, Chouchou, la fille de Choji et Karui et la fille de Ino et Sai.
C'est sur ce nouveau manga de Masashi Kishimoto que s'appuie le film. Le nouveau héros, Boruto, est le digne fils de Naruto ; il se comporte exactement comme lui, cherchant toujours à se faire remarquer. Mais cette fois, c'est dans l'objectif d'attirer sur lui l'attention de son père, qui s'occupe peu de lui. Voulant le devancer, il va devenir le disciple de Sasuke.
Peu de choses ont changé depuis Naruto et Naruto Shippûden, l'idée du surpassement de soi est toujours présente, accompagnée de sa meilleure amie : l'amitié.
Du côté de la production, le studio Pierrot est toujours en charge, avec le réalisateur mythique de la série, Hiroyuki Yamashita. Le scénariste est Ukyo Kodachi, épaulé de l'auteur de la série, Masashi Kishimoto, la musique est composée par Yasuharu Takanashi (Gantz, Log Horizon). Pour les seiyu, Yuko Sanpei (Renton Thurston dans Eureka Seven) donne sa voix à Boruto, tandis que Kokoro Kikuchi (Akito Wanijima dans Air Gear) double Sarada.
Ce onzième film autour de l'univers Naruto ne s'annonce pas plein de surprises, mais plutôt comme une vague reprise de l'histoire originelle. Si les juniors ne sont pas des personnages uniquement animés des mêmes émotions que leurs parents, ce long-métrage peut apporter un peu de fraîcheur, due aux changements de protagonistes ; sinon il ne fera que couler encore plus Naruto.

-MIRAhidote-





Dès le 02 juillet.
Une agence, deux personnages hors du commun : Worick Arcangelo, un beau charmeur avec beaucoup d'humour et Nicolas Brown, un homme terrifiant de par sa force impressionnante et son attitude froide tout comme silencieuse. En effet, l'un comme l'autre passent leur quotidien à terrasser et éliminer toutes sortes de vermines en échange d'une récompense souvent financière. Et c'est au cours d'une de leurs affaires qu'ils font la connaissance d'Alex Benedetto. Charmés par la demoiselle, nos deux héros l'engagent pour en faire leur nouvelle secrétaire, du moins la première. C'est à travers les yeux de la jeune femme qu'il nous est proposé de découvrir le passé de nos durs à cuire ainsi que leurs vies de tous les jours. On se retrouve ainsi plongé au cœur d'une ambiance criminelle, où la drogue, le crime et la prostitution constituent le cocktail de cet animé.
Du côté de la production, c'est le studio Manglobe (Accel World, Deadman Wonderland, Samurai Champloo...) qui a adapté la série issue du manga éponyme créé par Koshke. Un animé qui s'offre au passage les services de plusieurs connaisseurs parmi lesquels Shukô Murase à la direction (Mobile Suit Gundam Wing, Cowboy Bebop, le film, Samurai Champloo...). À la conception des personnages il est épaulé par Yôichi Ueda (Persona 4: The Animation, High School Samurai, trigun...). Côté scénario, c'est Shinichi Inotsume (gosick, JoJo's Bizarre Adventure, sket Dance...) qui prend la plume.
Bande-annonce

-Karore-





Dès le 02 juillet
Ranpo Kitan Game of Laplace est un animé développé à partir d'une histoire originale de l'auteur japonais Rampo Edogawa, à l'occasion du 50e anniversaire de sa mort.
L'histoire prend place au sein d'une une école devenue le théâtre d'une série de meurtres. Afin de résoudre le mystère, Akechi, détective de génie, (doublé par Takahiro Sakurai, Suzaku dans Code Geass) est appelé sur le lieu des crimes. Dans ses investigations, il est rejoint par Kobayashi (doublé par Rie Takahashi, Futaba Ichinose dans Sore ga Seiyu), un garçon efféminé s'intéressant peu aux autres, devenu assistant du détective depuis qu'il s'est découvert un intérêt pour l'enquête.
L’œuvre est produite par le studio Lerche (Assassination Classroom) et réalisée par Seiji Kishi (Persona 4). Le scénario est écrit par Makoto Uezu (Katanagatari) et la musique composée par Masaru Yokoyama (Arakawa Under the Bridge).
L'animation japonaise s'intéresse relativement peu aux séries policières, ce qui est bien dommage. Avec Ranpo Kitan, nous aurons droit à une véritable enquête, art dans toute son expression, de quoi ravir les amateurs du genre désespérés, mais aussi pour ceux à la recherche de quelque chose de différent.

-MIRAhidote-





Onoda Sakamichi n'en a pas fini de pédaler ! Et cette fois-ci c'est dans un film produit par le studio TMS Entertainment, qui a aussi réalisé les deux saisons de Yowamushi Pedal. Un studio à qui l'on doit les nombreux films Détective Conan et la série Cobra, édité par TOHO animation, une des plus grandes maisons du cinéma japonais.
C'est le mangaka de la série originale, Wataru Watanabe, qui a écrit le scénario, annoncé par TOHO animation comme une histoire originale. L'intrigue n'a pas été dévoilée pour l'instant, ce que nous savons c'est que les deux protagonistes principaux seront Onoda Sakamichi et Yûsuke Makishima, toujours doublés par Daiki Yamashita et Shôtarô Morikubo (Amano Ginji de GetBackers et Akaya Kirihara de Prince of Tennis).
Un film consacré à la relation entre ces deux personnages ? C'est ce que semble annoncer la bande-annonce de ce film très attendu par les fans.

-MIRAhidote-





Ça y est, c'est officiel, la Toei sort une nouvelle série Dragon Ball qui devrait se dérouler après les événements de La Résurrection de Freezer. Ces nouvelles aventures de Son Goku devraient voir arriver un nouvel ennemi imbattable (une fois de plus !) et mettre l'accent sur les six saiyen vivant sur Terre. C'est Akira Toriyama lui-même, le créateur original du manga, qui signe ici le scénario ce qui ne réjouira pas forcément les fans après sa performance mitigée sur les deux derniers films de la licence.
À ce propos, les inquiétudes sont en effet nombreuses et s'expliquent par les outrages qu'ont subi en quelques années Son Goku et ses amis. On ne pourra pas tous les citer mais Dragon Ball GT et le film américain Dragon Ball Evolution font sans aucun doute partie des pires exploitations de la franchise.
Pourtant, l'engouement pour Dragon Ball reste intact à tel point que des journaux aussi réputés que Le Monde ont consacré un article à cette nouvelle série prévue pour ce mois de juillet. À n'en pas douter, nous serons nombreux à nous jeter sur les premiers épisodes de DBS : reste à savoir si ces nouvelles aventures sauront nous convaincre sur le long terme.

-Jules-





L'aventure commence en 1965 dans la région du Kanto. Le petit Satoshi Tajiri y voit le jour et se passionne en grandissant pour la chasse aux insectes. Alors qu'il voit les mares et forêts se faire remplacer par des immeubles et de nouvelles constructions, il regrette que ses expéditions entomologiques se soient ainsi taries. Il crée en 1982 avec des amis le magazine Game Freaks, nom qu'il donne par la suite à sa société de développement de jeux vidéo. Puis, au début des années 1990, il s'intéresse à la Gameboy et aux câbles Links. La légende veut qu'il ait aperçu un insecte rampant le long d'un câble connectant les deux consoles portables, vision qui lui aurait inspiré l'idée des Pokemon. Après six années passées chez Nintendo, en 1996, les premières versions de Pokemon voient le jour : il s'agit de « Aka » (rouge) et « Midori » (vert). Victimes de leur succès, la France doit attendre 1999 pour avoir ses premières cartouches : les versions Rouge et Bleue, inspirées de la version « Ao » (bleu), complémentaire de ses prédécesseurs. Par la suite tout s'est enchaîné rapidement et le produit a vite rencontré son succès mondial. Le jeu se voit adapté en animé à partir de 1997 au Japon (1998 à l'étranger) suivi du premier film en 1998 (2000 en France) : Pokemon, le film : Mewtwo contre-attaque. Et alors que l'on pouvait s'attendre à une perte de vitesse du phénomène, le rythme n'a au contraire pas ralenti depuis cette époque et c'est un 18ème long-métrage qui s'offre à nous en ce mois de juillet. Pokemon est une franchise qui a fortement marqué toute une génération et qui arrive encore aujourd'hui à séduire les nouvelles comme les anciennes. Dans cette dernière réalisation de Kunihiko Yuyama (saga film Pokemon) qui a vu le jour au sein du studio Oriental Light and Magic , le fan-service semble à l'honneur vu que l'on assistera à une bataille épique entre pokemon légendaires !



-Nayruu-





Sortie du premier film le 3 juillet et du second le 18 septembre

Rappel chronologique :

Haikyu!! est à l'origine un manga de Furudate Haruichi ayant connu une première adaptation au petit écran au printemps de l'année dernière. Cet été, ce n'est pas moins de deux films d'animation passant en revue toute la première saison qui s'apprêtent à sortir au Japon en vue du second volet prévu pour cet octobre.

Synopsis :

Shoyo Hinata est un collégien passionné de volley-ball. Souhaitant progresser et suivre le même chemin que son joueur préféré, le "Petit Géant", il crée son propre club en parvenant à réunir cinq autres joueurs. Ensemble, ils participent à un tournoi mais connaissent une défaite humiliante dès le premier tour face à l'équipe de Tobio Kageyama.
Suite à cela, l'équipe est dissoute, mais Shoyo ne se laisse pas démonter et continue de s'entraîner afin de reprendre un jour sa revanche.
Il est aujourd'hui inscrit au lycée Karasuno, là où est aussi scolarisé le "Petit Géant"…

Staff :

Studio : Production I.G. (Psycho Pass)
Réalisateur : Susumu Mitsunaka
Musique : Yuki Hayashi (Blood Lad)
Scénariste : Taku Kishimoto (Gintama°)

Haikyu!! est une série sportive et entraînante et ces films seront peut-être l'occasion pour certains d'en découvrir l'univers et pour d'autres de s'y replonger.

-MIRAhidote-



Besoin de détente après le sport ? Un peu de rire et de charme.





Après deux saisons de rires et de maladresses, Working !!! revient pour un troisième volet ! Nous sommes à nouveau invités à partager le quotidien de Sôta Takanashi, lycéen travaillant à mi-temps au sein du restaurant familial Wagnaria, entouré de ses collègues aussi farfelus les uns que les autres. En effet, entre une adolescente aux traits infantiles, une « androphobe » (peur des individus de sexe masculin) violente, une gérante bien trop gourmande et d'autres encore, cette équipe n'a pas fini de vous surprendre.
En parlant d'équipe, la série est adaptée du yonkama de Karino Takatsu avec comme chef de table Yumi Kamakura (Santa Company) qui s'occupe de la réalisation au sein du studio A-1 Pictures. Aux fourneaux, on retrouve le scénariste Takao Yoshioka (Shigatsu wa Kimi no Uso) tandis qu'en salle l’effervescence est gérée par le character designer Shingo Adachi (saga Sword Art Online) et l'ambiance musicale assurée par Monaca (My Teen Romantic Comedy SNAFU).


-Nayruu-





Wooser est une série courte adaptée de l’œuvre originale de Usa Yoshiki, membre du groupe J-pop Supercell. L'animé met en scène la vie quotidienne d'un protagoniste du même nom aux allures de lapin mignon. Cependant ce dernier est en réalité obsédé par divers vices tels que la viande, les filles et l'argent. Produit par Sangizen (Aoki Hagane no Arpeggio : Ars Nova, Miss Monochrome : The Animation), de nombreuses références à d'autres titres du studio sont ainsi présentes au sein de la série. Réalisée par Seiji Mizushima (Fullmetal Alchemist), c'est toute une équipe de scénaristes qui s'active afin de donner vie aux personnages de Wooser, parmi lesquels on retrouve Gen Urobuchi (Mahô Shôjo Madoka★Magica), Tatsuya Takahashi (BlazBlue : Alter Memory) et Masaya Honda. Tomoko Fujinoki est également présent pour la conception des personnages. Quant aux seiyu, Haruka Nagamune (Ren), Minori Ozawa (Rin) et Mamoru Miyano (Wooser, Taichi Mashima dans Chihayafuru) sont au rendez-vous.

-Nayruu-





Umaru Doma est une jeune fille de seize ans douce et intelligente, admirée d'autrui autant pour ses capacités intellectuelles et physiques que pour sa beauté. Elle apparaît en effet comme la petite sœur parfaite. Malheureusement pour Taihei Doma, son grand frère qui en a la charge, Umaru est en réalité une otaku chevronnée amatrice de hamster qui lui donne bien du fil à retordre. Cependant, son vrai visage ne se révèle qu'une fois la porte de leur logis passée : Umaru tient à garder l'image parfaite qu'elle renvoie aux gens extérieurs.
Adapté du manga éponyme de Sankaku Head, c'est au sein du studio Doga Kobo (11eyes) que le papier s'anime. L’œuvre est réalisée par Masahiko Ota (Love Lab) et scénarisée par Takashi Aoshima (Kotoura-san). Le character designer n'est autre que Aya Takano (Shirokuma Cafe) tandis que Yasuhiro Misawa (Love Lab) s'attelle à la musique. Parmi les seiyû, on retrouve Aimi Tanaka (Umaru Doma, Yuki dans Hôkago no Pleiades) et Kenji Nojima (Taihei Doma, Masakazu Masaki dans Eve no Jikan).

Bande annonce.

-Nayruu-





Les Sakurada forment une famille très inhabituelle dans l'animation japonaise.
Ils sont 9 frères et sœurs (jusque là ça va), possèdent tous un pouvoir spécial (la routine) et sont également prétendants au trône de leur pays. Mais là où cela devient extrêmement original c'est qu'ils vivent avec leurs parents, incroyable !
Mais ce n'est pas tout, dans ce pays étrange, le futur roi est choisi par le peuple parmi enfants du souverain en place (ah... Les aléas de la démocratie...) et les citoyens vont donc devoir désigner leur futur souverain parmi les 9 enfants Sakurada.
Pour faciliter cette élection, une chaîne de télévision installe 200 caméras dans la demeure royale afin d'espionner tous les faits et gestes de cette famille hors norme.
C'est Production IMS, habitué des séries grivoises, qui anime cette comédie délurée qui rappellera les plus belles heures de la télé réalité. La réalisation est confiée à Noriaki Akitaya, connu pour son travail sur Bakuman, ce qui est plutôt bon signe. Autre motif d'espoir : un scénario signé par Reiko Yoshida (Jyu Oh Sei, K-on!) qui devrait donné un peu de hauteur à cette comédie burlesque.
Conclusion : Joukamachi no Dandelion ne devrait pas bouleverser les codes du genre auquel elle appartient mais pourrait cependant offrir un joyeux divertissement, ce qui est déjà très bien.

-Jules-





Dès le 27 juin.
Kimihito Kurusu vit à l'ère où les humanoïdes ont fait surface parmi les Hommes. Ainsi, afin d'améliorer l'échange culturel entre les deux espèces, le gouvernement invite les humains à adopter ces nouveaux spécimens, interdisant toutefois tout échange "amoureux". C'est au sein de ce contexte fabuleux que Kimihito se voit un jour contraint de cohabiter avec Miia, une femme-serpent n'appréciant que la chaleur humaine. En effet Miia a souvent très froid et trouve sa solution en se tenant blottie contre le jeune homme. À la fois excitante et interdite, cette délicate situation n'est pas des plus simples à gérer pour le jeune homme. Ce dernier n'arrivera malheureusement pas au bout de ses peines notamment avec l'arrivée de Papi, une jeune fille-oiseau, et de Centaurea, une femme-cheval, persuadées chacune d'être liées au destin de Kimihito. Toute une histoire aux accents de harem qui s’annonce très ecchi, servie par les formes généreuses de ces femelles humanoïdes. Un coup de crayon que l'auteur Okayado a déjà délivré à travers les pages du manga d'origine sorti au Japon depuis 2012.
Bande annonce.

-Karore-





Dès le 8 juillet.
Vous souvenez surement de Queen’s Blade, une série proposant de jeunes guerrières d'un nouveau genre d'armures très légères. Et bien c'est un thème que vous pourrez de nouveau apprécier dans Bikini Warriors. En effet, celle-ci a été créée pour faire perdurer l'image de son ainée. En Proposant à différents artistes indépendant de créer leur personnages pour Bikini Warriors, vous pourrez découvrir des créations comme : le personnage de Fighter, une guerrière adaptée au combat rapproché avec son épée. Elle a été dessinée par Hisasi, auteur du manga pour adulte Koakuma Kanojo (celui-ci adapté en animé). Autre personnage très présent, Paladin, une femme chevalier ayant beaucoup de manières distingué. Celle-ci a été conçu par Onigiri-kun, travaillant pour AliceSoft, une entreprise de jeu vidéo RPG et d'animés le tout pour adulte (Daiteikoku, Pastel Chime 3 Bind Seeker, Chôkô Sennin Haruka, Chôkô Sennin Haruka, Daiakuji, Chôkô Tenshi Escalayer, Darcrows etc...). Ainsi pour continuer sur notre chemin des présentations, voici Mage, comme son nom l'indique, elle pratique la magie durant les combats. Cette jeune personne a été dessinée par Saitom, auteur de la série Ninja Slayer From Animation (actuellement diffusée par Crunchyroll). Nous continuons avec Dark Elf qui a la capacité d'utiliser autant la magie que son épée, quand celle-ci veut bien se mettre au combat. Elle nous vient de ODA Non, auteur de bon nombre de mangas pour adulte. Il a participé également à l'artbook Queen's Blade - Vanquished Queens et Queen's Blade Rebellion: Illustrated Story. Un style qui vous sera aussi familier puisqu'il a aussi fait partie de l'équipe de Character designer pour la série Queen's Blade: Rebellion. Vient le tour de Hunter, une guerrière arqué en toute circonstance comme le fût les personnages de la série Black Lagoon. Ici, nous retrouvons l’auteur de ce dernier Rei HIROE à la réalisation de Hunter. Pour finir notre grande équipe féminine : Valkyrie qui a la possibilité d'être intouchable équipé de sa lance et doté d'une grande expérience. Cette demoiselle a été créée par Tony Taka. Un style que vous reconnaissez surement car il est le principal Character designer de Shining Tears X Wind, Shining Hearts: Shiawase no Pan, Fault!!, etc. Bikini Warriors se verra adaptaté en manga et en jeu-vidéo au court de cette année. Enfin, il faut savoir que cette série est née grâce à la collaboration de Hobby Japan et MegaHouse Corp.

-Karore-





En plein cœur de Tokyo, un passage dimensionnel s'ouvre et déverse une armée entière de monstres terrifiants et de chevaliers en armures. Heureusement, l'armée japonaise se déploie et parvient à repousser cet envahisseur inattendu. Cependant, malgré cette victoire, il demeure un problème : la porte est toujours là et le danger d'une nouvelle attaque est omniprésent. Les autorités nippones décident alors de prendre les devants et d'envoyer des troupes explorer et comprendre ce monde inconnu. Parmi les soldats mobilisés, se trouve le lieutenant Itami, un otaku qui puisera dans sa culture pour comprendre les habitants de cet univers parallèle. Car en effet, ce monde à la fois fantastique et hostile repose sur les codes de l'heroic fantasy japonais, étant par conséquent peuplé majoritairement de femmes aux physiques plantureux et aux tenues exubérantes.
Ah ! Merci à toi, A-1 Pictures de rajouter tous ces bons vieux clichés habituels à une idée qui semblait originale, merci beaucoup !
Car oui, Gate pourrait tout de même proposer quelques idées intéressantes sur la conquête d'un pays par un autre et sur le mélange de cultures très différentes au départ. La série semble ambitieuse et la bande annonce présage un visuel agréable: il ne reste plus qu'à croiser les doigts pour que tout cela ne se transforme pas en un énième harem fantaisiste.

-Jules-





Imaginez une jeunesse bridée par une loi sur le maintien de l'ordre public et de la morale qui interdirait toute grossièreté ou provocation à caractère érotique en public. Imaginez maintenant qu'un groupe de lycéens résistants pratiquant un terrorisme obscène fait d’allusions sexuelles et de culottes transformées en masques. Vous l'aurez compris, avec Shimoseka, on est plus dans la comédie déjantée que dans une dénonciation acerbe d'un système liberticide. La bande annonce officielle est d'ailleurs bien dans cet esprit plus coquin que véritablement provocateur avec des images très schématisées de phallus et de représentations artistiques de l'orgasme.
En ce qui concerne l'équipe de production, c'est le studio J.C.Staff, réputé pour son éclectisme, qui sera aux manettes avec Yôhei Suzuki à la réalisation. Ce dernier a déjà œuvré sur Hentai Ouji to Warawanai Neko mais également sur Aki no Kanade, un court métrage assez réaliste sur le passage à l'âge adulte.
Néanmoins, Shimoseka sera certainement une comédie délurée qui devrait rester en dessous de la ceinture sans trop atteindre la zone du cerveau. Cela dit, ce genre d'humour, s'il est bien mis en scène, peut s’avérer très efficace alors ne boudons pas trop vite notre plaisir et attendons juillet avant de juger.

-Jules-






À chaque saison nous avons droit à une vague de comédies prenant place dans la vie quotidienne, et cet été, Danchigai en fait partie.
À l'origine un yon koma (manga humoristique en quatre cases) de Kazusa Yoneda, Danchigai est une œuvre comique centrée sur les péripéties quotidiennes des cinq frères et sœurs Nakano : Haruki, le seul garçon, l'aînée Mutsuki, Yayoi et les deux dernières, Uzuki et Satsuki.
Pour son adaptation en animé, c'est le studio Dream Creation (Danna ga Nani o Itteiru ka Wakaranai Ken) qui s'en occupe, avec à la réalisation Hiroshi Kimura (Hamatora) et Ito Emiko au character design. Dax Production est en charge du son, et du côté des seiyû, chose intéressante, on note la présence d'Atsushi Abe (Toma Kamijo dans la série des To Aru) et de Satomi Akesaka (Esdeath dans Akame ga kill) qui doublent respectivement les personnages d'Haruki et Mutsuki.
Un bon rythme et des gags inventifs peuvent sauver Danchigai de la case "perte de temps", sans pour autant lui assurer de se démarquer du lot. Mais ne fondons pas notre avis sur des préjugés, seule l’expérience pourra nous dire si ce titre s'avère être une série distrayante ou pas.

-MIRAhidote-




Une nouvelle saison arrive pour la série To Love-Ru, l’adaptation animée a commencé en 2008 et 7 ans plus tard elle attaque sa 4ème saison.
Pour ceux qui ne connaissent pas, To Love-Ru est une série comique avec une forte dose d’ecchi. On remarquera que celle-ci augmente d’un cran à chaque saison, se rapprochant même à la limite du hentai dans les OAV. Ce qui est assez amusant, c’est que le character designer est Kentaro Yabuki, l’auteur de Black Cat, un manga shônen assez classique et divertissant dans le genre. Deux séries très différentes l’une de l’autre, ce qui n’est pas étonnant puisque c’est Saki Hasemi qui s’occupe de l’histoire de To Love-Ru, celui-ci était l’assistant de Kentaro Yabuki sur Black Cat.
Nous retrouvons exactement la même équipe que la saison précédente, bien évidemment les doubleurs, mais aussi Atsushi Ôtsuki (Working'!!, Kanokon) à la réalisation et Yuichi Oka (Over Drive, Argevollen) pour le character designer, bref vous ne serez pas dépaysé et je pense que l’on peut s’attendre à quelque chose de techniquement similaire.
Les fans de la série peuvent se réjouir de retrouver Lala et ses sœurs cette été, espérons d’ailleurs que Lala reviendra sur le devant de la scène, ces apparitions furent rares dans la saison précédente et c’est bien dommage. Préparez-vous donc à voir le harem de Yuki s’agrandir et les limites de l’ecchi poussés à l’extrême.

-Ash-





Dès le 11 juillet.
Un grand lycée pour filles, renommé pour ses excellents résultats et son règlement ferme, a vu sa politique changer pour devenir un établissement mixte. Suite à la demande du nouveau directeur, l'établissement accueille désormais cinq nouveaux étudiants masculins au milieu de ses 1016 demoiselles scolarisées. Une nouvelle année s'ouvre alors pour notre groupe de garçons composé de Kiyoshi Fujino, un jeune timide inquiet de sa situation tout en ayant une certaine assurance ; Morokuzu Takehito, un intellectuel particulièrement renseigné sur les petites culottes ; Shingo Wakamoto, un suiveur de groupe ; Reiji Andô, gros masochiste et enfin Jôji Nezu, l'irrécupérable. Comme vous pouvez le comprendre, ce n'est pas là la plus formidable des équipes. Mais lorsque Kiyoshi fait la connaissance de Chiyo Kurihara avec qui le courant passe plutôt bien, le désir de voyeurisme de notre fine bande entraîne un conflit avec la gente féminine de l'établissement et tout particulièrement avec le conseil clandestin et surtout très sévère des élèves. Ces redoutables jeunes filles sont Hana Midorikawa, secrétaire du conseil ; Mari Kurihara la présidente, également surnommée la manipulatrice de cordeaux ; et pour terminer la vice-présidente, Meiko Shiraki, toujours prête à se servir de sa cravache. Punis par ces dernières, les garçons se voient dès lors condamnés à vivre dans une prison au sein de l'école tout en effectuant des travaux forcés sous surveillance de la dominatrice Meiko.
Prison School est une adaptation du manga Kangoku Gakuen d'Akira Hiramoto, distribué en France chez Soleil Manga. Pour la création de cette animé, c'est le studio J.C. STAFF qui s'en est chargé (Ano Natsu De Matteru, Bakuman, Ikki Tousen, Excel Saga) avec à la direction Tsutomu Mizushima (Another, Blood C, Girls Und Panzer, xxxHOLiC) et Junichiro Taniguchi au character design (Gosick, Nozaki-kun, Puella Magi Madoka Magica).
Bande annonce.

-Karore-





Dès le 26 juin.
Animé à caractère pornographique, interdit aux moins de 18 ans.
Qu'espérer de mieux que de jouer à un jeu en amoureux en donnant un gage au perdant ? Et si cette personne était votre petite amie, rien de tel pour lui faire faire un gage en « cosplayeuse » sexy ? C'est ce que l'on retrouve dans cette chaude OAV Kanojo ga Nekomimi ni Kigaetara adaptée de son dôjinshi. Bien que Haruna soit plutôt douée dans les jeux, ce jour là elle perd contre son compagnon. Celui-ci ne perdra pas l'occasion pour en profiter et lui désigner un gage. De se « cosplayer » dans une tenue très sexy la mettant ainsi dans une situation excitante. Nul besoin de vous expliquer ce que cet hentai vous réserve entre nos deux tourtereaux. Du côté de la création, nous retrouvons Miyabi, un auteur qui possède déjà à son compteur bon nombre de dôjinshi. Cela lui a permis d'apporter un doigté généreux à ses personnages féminins, comme nous pouvons le voir également dans Junjô Shôjo Et Cetera (une série dans laquelle la curiosité au lycée et via Internet peut plaire à la gente féminine), ainsi que Otome Hime (un jeune couple à la découverte de l'amour).
Hentai destiné à un public averti ( -18 ).

-Karore-

Et ce n'est pas fini ! Poursuivez votre lecture avec la partie 2 dans laquelle beaucoup d'autres série vous attendent.


Nous vous invitons à venir discuter de l’article sur .
Le 15-07-2015 à 21:11:51 par : Nayruu, Karore, Ash, MIRAhidote, Jules, Kaorisuzuchan, Kenji Shinoda, Shinku, Mouaadiib, JigoKu Kokoro

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