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| Geno Cyber (1996) | |
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| Synopsis | Le docteur Morgan, fondateur et principal chercheur du Morgan Institute, créé le GenoCyber, une entité suprême dont les pouvoirs ultimes peuvent détruire l'univers. Mais une explosion mystérieuse pulvérise l'institut. Le docteur Morgan et sa femme Elaine y sont laissés pour mort.
Quatorze ans plus tard, son assistant, le docteur Kenneth s'essaye à produire des Genocybers. Aidé de Diane, une jeune fille qui croit que Kenneth est son père, il désire utiliser les pouvoirs psychiques de cette dernière afin d'entrer en contact avec la défunte Elaine...
La destruction de Hong Kong projette le GenoCyber en pleine zone de combat! Lorsque les Nations Unies apprennent l'attaque, ils envoient leur propre arme, le Vajranoïde, un mutant utilisant les pouvoirs du Chi.
Mais les Nations Unies perdent le contrôle de leur arme... La Terre pourrait bien devenir le champ d'une monstrueuse bataille. |
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| Critiques | Genocyber n'est pas un chef d'œuvre du genre, on a fait bien mieux depuis. Néanmoins, il reste une œuvre à voir, un classique du cyberpunk. L'histoire se passe dans un futur proche à Hong-Kong, une vision futuriste des plus sombres, voire pessimistes.
Genocyber, édité en manga et en VHS à l'époque, n'est pas une œuvre à mettre dans toutes les mains. Il reste pour moi l'œuvre la plus sanglante qui m'ait été donnée de voir. Dès le départ, c'est particulièrement frappant. Les gens ne sont pas tués, ils explosent. Heureusement, cette ultraviolence, reléguant carrément Elfen Lied à une œuvre au gore ''gentillet'', n'est pas pour rien. Il exprime la difficulté de manier une arme aussi dangereuse, une arme réalisée au détriment de l'existence de deux humains. Et c'est bien le problème de l'arme qui est au centre de Genocyber ou comment dans un monde pessimiste les gens sont prêts à tout sacrifier pour obtenir une puissance illusoire. Si cet animé aurait donné à être plus développé, ces OAV méritent d'être un indispensable du genre.
-Naru- |
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| Note de la rédaction | | Cette série d'OAV permit au Mecha Designer Kôichi Ôhata de passer pour la première fois à la mise en scène. On retrouve d'ailleurs le thème des créatures biomécaniques qu'il explorera en 1999 dans Blue Gender. À noter qu'il existe aussi un manga dessiné par Tony Takezaki et édité en France par Albin Michel. |
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Geno Cyber © 1994 ARTMIC, TAKEZAKI Tony / ARTLAND
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